J’ai commencé ma vie professionnelle en m’occupant d’un projet de cohésion sociale dans le centre de Bruxelles. Dès ce moment, une question s’est posée : comment créer des ponts entre ces gens de cultures si différentes ? Le travail par le corps s’est alors développé intuitivement avec les habitants comme un terrain d’entente au delà des mots (pour dialoguer, pour faire groupe, pour exprimer les espoirs et les frustrations).
Depuis, les techniques corporelles restent mon fil rouge. Fil qui relie tant bien que mal le corps et l’esprit, mais aussi les connaissances issues des traditions avec les connaissances scientifiques contemporaines.
Mon projet rassemble ces 3 perches tendues à travers ces différents domaines pour un projet centré sur le corps et la mine d’informations qu’il représente. Pour « se connaître soi-même » comme nous y invitaient les anciens grecs, point de départ incontournable pour avancer avec justesse dans un projet, qu’il soit individuel ou collectif.
